La vie des couples ...

Soirée infructueuse mais mâtiné prometteuse.

Il ne faut pas croire à la vue de mes écrits que c’est toujours facile d’observer et qu’on gagne à tous les coups ….

Il y a de nombreux moments passés qui ne donnent rien.

Par exemple hier soir : pas de « distractions » dans le métro ni dans le RER.

Arrivé chez moi, les observations d’après mangé n’ont rien donnés non plus.

MonsieurNV est toujours tout seul sans MadameNV

Il y a bien eu MadameMagr qui a fini par ouvrir les volets de sa chambre et a laissé la fenêtre grande ouverte pour essayer de faire entrer un peu d’air frais.

Je me suis donc mis à observer mais je ne l’ai plus revu.
Juste des allers-retours de MonsieurMagr qui a fini par se coucher mais je ne voyais que ses jambes et ses pieds allongé sur le lit.

Tout comme moi, ils ont dormi tout ouvert (volets et fenêtres) pour essayer d’avoir un peu d’air.

Ce matin pour ma part, réveil à 6h15 et je vais directement voir la fenêtre de MadameMagr et je vois toujours que 2 jambes sur le lit sans doute celles de MonsieurMagr.

Plus tard je reviens mais plus de jambes visibles et en regardant bien je vois un reflet dans leur fenêtre, c’est celui de MadameMagr.

Après un quart d’heure d’observation ma patience est récompensée et je la vois venir tranquillement fouiller dans sa petite commode qui se situe juste à côté de la fenêtre.

MadameMagr ne porte qu’un joli soutien-gorge noir à dentelle et qu’une vilaine culotte blanche (encore de grand-mère !). Et elle prend vraiment tout son temps pour choisir un chemisier qu’elle enfila.

Dommage que ce n’est pas tous les jours la Saint-Valentin (voir un de mes post précédents où elle arborait un magnifique string noir).

Ensuite dans le métro une jolie jeune fille montait à côté de moi.
Elle portait en haut un joli caraco noir (visiblement sans soutien-gorge) et un pantalon en toile qui laissait apparaître les marques d’un joli string en dessous.

IL faisait très chaud et elle avait du mal à le supporter. Des gouttes de sueur commençaient à perler sur son visage puis entre ses seins.

Elle s’éventa énergiquement de la main pour essayer de trouver un peu d’air et ses magnifiques petits seins ondulaient alors sous le caraco.

Mais je n’ai pas pu en voir plus, car il y a eu de plus en plus de monde dans le métro et je ne pouvais plus la voir.